Frais de port offerts à partir de 20€ de produits achetés, défrayés à l'étape 4 de la commande.
Depuis quelques dizaines d’années le jardin bio s’est imposé au jardinier amateur. Il marque une rupture radicale avec les pratiques adoptées jusqu’alors, notamment les incroyables dérives de l’emploi des engrais chimiques et des pesticides. Ce divorce salubre s’accompagne de la (re)découverte d’anciens gestes et de l’adoption de nouvelles techniques. Petit tour d’horizon pour les néophytes.
Comment jardiner Bio à la maison ?
Pour simplifier, retenons deux thèmes fondamentaux : nourrir la terre pour qu’elle nous nourrisse et préserver la biodiversité.
Ce produit est victime de son succès
Attention : dernières pièces disponibles !
Date de disponibilité:
JE PRENDS SOIN DE L’HUMUS
Il se situe dans une mince couche de 4 à 5 cm à la surface du sol qui provient de la dégradation de la matière organique. J’abandonne le bêchage au profit du griffage.
J’UTILISE DES ENGRAIS ORGANIQUES NON CHIMIQUES
Pour se nourrir les plantes ont besoin de trois éléments essentiels, le NPK indiqué sur les emballages (azote/phosphore/potassium). Terminés les engrais chimiques, les formulations organiques sont désormais très variées dans le commerce.
J’ADOPTE LE PAILLAGE
Paillage ou paillis, c’est la même chose, c’est une couche de paille ou de débris végétaux qui a l’avantage de retenir l’eau, de favoriser la pullulation de la microfaune et de limiter considérablement le désherbage. En se décomposant, il alimente le garde-manger de l’humus.
JE ME PLIE AU DESHERBAGE
C’est le seul chapitre pour lequel le jardinage Bio n’a pas encore trouvé de solution. C’est pas bien méchant.
JE FAIS MON COMPOST
A la fois pour le débarrasser des déchets du jardin (et de la cuisine) et pour disposer d’un engrais organique très nourrissant.
JE SEME DES ENGRAIS VERTS
Ce sont des plantes cultivées uniquement pour être broyées et incorporées au sol en fin de culture afin de régénérer les réserves nutritives de la terre. Entre-temps elles auront protégé le sol de l’érosion. Féverole, luzerne, trèfle, seigle, phacélie … la liste est longue.
JE FAVORISE LA BIODIVERSITE
Par mes nouveaux réflexes, la biodiversité revient d’elle-même, mais pour encourager la venue de toujours plus de petites bestioles utiles, je sème et je plante des espèces mellifères, des arbustes à petits fruits pour les oiseaux …
JE DIS MERCI AUX AUXILIAIRES
Le retour de la biodiversité c’est aussi celui d’insectes auxiliaires, ils tuent et dévorent les insectes nuisibles et leurs larves. Chrysope, syrphe et bien sûr coccinelle (la vedette !) font partie de la liste.
JE PLANTE DES VEGETAUX UTILES
Des plantes répulsives pour écarter les insectes nuisibles (plantes aromatiques, capucine …) et des plantes amies, celles qui se protègent l’une l’autre : œillet d’Inde et tomate, lin et pomme de terre, carotte et oignon …
JE PULVERISE DES PURINS
Les purins préparés par macération de végétaux servent à renforcer la vigueur des plantes cultivées, ainsi moins exposées aux parasites et aux maladies et servent aussi d’engrais pour la croissance des plantes.
Aucun avis n'a été publié pour le moment.